Des poèmes qui s’élèvent vers le ciel et qui chantent haut et fort. Un concert de voix colorées s’échappant d’une époque bien étouffante et prosaïque, quand les mots (et toute machine à écrire qui les portait) étaient considérés comme un potentiel danger par la censure communiste.
Oggetto: Ion Barbu, «Lettres au Bon Dieu», installation avec machines à écrire au Musée de la Poésie de Iasi